L’application de la réforme des rythmes scolaires se révèle difficile et les contraintes qui en résultent sont nombreuses pour les communes et leurs groupements en charge des écoles et/ou des transports scolaires. L’absence de concertation préalable entre les services du ministère de l’Education nationale et les associations d’élus locaux et l’insuffisance des financements de l’Etat aggravent la situation. La recherche de solutions permettant d'offrir des activités périscolaires de qualité se heurte toujours à ce problème financier qui n'est pas résolu par la pérennisation du fonds d'amorçage décrété par le gouvernement, ni par l'engagement de la caisse d’allocations familiales (CAF). En outre, particulièrement en milieu rural, il est difficile de recruter des animateurs qualifiés pour des faibles durées de travail et des déplacements souvent...
L’accès au contenu intégral de cet article est réservé aux abonnés.
Jacques KIMPE le 09 juin 2015 - n°1907 de La Lettre du Maire